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Mr et Mme Très Bien Elevés
16 février 2007

Appétissante... et plus si affinités

Mon amour, je te sais très fier de tes frasques sexuelles commises avec ma complicité, et je connais l'irrésistible plaisir que tu as lorsque tu les évoques à tes amies... Satisfaction de les faire fantasmer, goût de la provocation en leur laissant entendre ce à côté de quoi elles sont passées...

Et puis récemment, cette amie, S., qui t'a demandé des photos de moi. Etrange curiosité... Tu as choisi trois photos, dont l'une, sous un jour un peu lascif, laisse entrevoir un sein, mais sur chacune, les cheveux en pétard et le sourire avenant, j'ai l'air très naturel. 

"Ta Mme Très Bien Elevée est vraiment appétissante", a-t-elle répondu.

Appétissante comme un fruit juteux, à la peau douce et lisse, à la chair tendre et au goût voluptueux?
Je ne sais plus tenir mes pensées, elles se promènent entre deux rêves... Cette nuit, une femme parée d'un vaporeux voile noir, aux seins délicieux, m'enjoignait d'enfiler une tenue en résille ne laissant à nu que mon sexe dont l'humidité le faisait luire, appelant bruyamment les vits à me soulager des brûlures qui m'envahissaient... 

J'imagine S., à qui tu m'aurais présentée, tel un objet de plaisir dont elle disposerait aux conditions que tu lui donnerais. Elle ne pourrait jouir de moi qu'en ta présence. Elle t'a déjà fait part de sa curiosité et de son embarras, ne pouvant espérer m'obtenir de toi sans que tu poses tes exigences: "Vraiment, faire ça avec un couple, je ne sais pas."
Heureusement pour elle, elle n'a pas le choix. Tu connais mon goût pour les voyeurs, et tu veux endosser l'habit de cet observateur cher à mes sens qui ne pense qu'à empêcher son corps de se jeter sur le mien, en corsant la situation: je glisserai dans le plaisir accompagnée par le corps d'une femme, aux caresses insupportables de luxure et aux airs de volupté innocente. 
Tu salives lorsque je te raconte mes aventures lesbiennes ; l'envie s'allume dans tes yeux obscurcis par le voile de la luxure, et ton corps se nourrit de tes pensées, de mes mots sussurés. J'aime te torturer en te faisant miroiter les attraits des corps que j'aime caresser, en te dessinant mes désirs pour ces femmes qui seraient mes objets...
J'aime te lire ces nouvelles érotiques de la Femme de papier, et me laisser surprendre par tes mains qui me frôlent et m'arrachent des sensations inouïes, troublant ma lecture et m'ôtant le contrôle de mes sens. Le livre tombe, mon trouble a besoin de toi, l'orgasme adore naître sous tes doigts. 

Lorsque je serai avec S., tu regarderas. Nous tenterons de t'oublier, néanmoins je serai extrêmement troublée de te savoir là, dévorant le moindre de mes gestes, la moindre parcelle de nos peaux enlacées. Je suis terriblement gênée. Elle ne se doute pas du tourbillon d'envies
qui s'empare de moi, elle ne sait pas encore que sa main qui frôle mon épaule éveille des frissons d'une profondeur qu'elle va découvrir bientôt. Un abîme de désirs s'entrouve dans mon esprit, la réflexion fuit et la séduction s'immisce dans mon jeu. Je la charme en accrochant mon regard au sien, elle se trouble, elle se noit et sa main s'emballe sur moi. Elle glisse de mon épaule, en suivant la bretelle qui la conduit droit à mon sein. Elle élude ce dernier, jugeant trop peu plaisante la découverte prématurée des courbes désirées. 
Ma main enhardie s'emporte jusqu'à sa cuisse. S. sursaute, son regard s'intensifie, plongeant dans le mien pour y lire le désir de la faire jouir interminablement. Ma main se déplace subtilement de sa cuisse à sa hanche, caressant délicatement la peau laissée nue par le bas de l'étoffe de soie noire qui la moule prodigieusement bien. Je remonte sur son ventre, qui se creuse et se bombe au rythme de sa respiration perturbée. J'y laisse ma main réchauffer sa peau tremblante sous le tissu.

Elle m'enlace presque, effleurant un côté, extrêmement sensible, aux abords de mon ventre. Elle insiste, trouvant un plaisir certain à me secouer de frissons. Je resserre mon emprise sur son corps, tout en me penchant à son oreille. Mon souffle languide l'excite, elle me glisse doucement: "Déshabille-toi", tout en dégrafant lentement dans mon dos les attaches de mon bustier. De fait, c'est elle qui me déshabille. Je m'abandonne, et pour l'aider à me dévêtir, je me colle contre elle. Elle ne détourne pas son visage, et nos souffles se rencontrent entre nos lèvres presque jointes.
 
Son haleine est enivrante, je ferme les yeux pour me concentrer sur la pression qui naît sur mes lèvres. Les siennes sont charnues, tendres et douces, leur goût est sucré, elles papillonnent sur les miennes, tandis que ses mains fourmillent dans mon dos. Mon bustier tombe, et mes seins aguichants sont désormais plaqués contre elle. Elle m'écarte d'elle pour les contempler, ses yeux pétillent et ses mains s'emparent de ma poitrine dans un élan passionné. Elle m'embrasse fougueusement. Cela dure des heures, sa langue viole ma bouche et emballe ma langue, je me livre complètement à l'impétuosité du moment. Je la veux nue, elle aussi. Ma bouche se détache de la sienne pour se promener rapidement sur son cou, sur sa gorge, le long du décolleté profond que je force pour lécher un mamelon durci. Je dégage complètement son magnifique sein de l'étreinte du tissu, j'en admire la courbe gracieuse, je respire sa peau de lait et ne rêve plus que de dévorer cette plénitude enivrante.
Je la débarrasse de ses vêtements, lentement. Tu ne perds pas une miette du spectacle. Le lit est à deux pas, nous nous y portons bouche contre bouche, fermement enlacées, nous perdant dans la découverte captivante du corps de l'autre.
Je l'allonge sous moi, je la caresse de haut en bas, ma bouche suivant le chemin tracé par mes mains jusqu'à sa chatte ruisselante. Je veux la lécher jusqu'à la faire crier, jusqu'à m'emparer d'elle ardemment. Elle tressaillit en même temps qu'elle gémit, ma langue ne l'épargne pas, je goûte suavement sa saveur étrangement épicée, et je t'aperçois en train de nous regarder. Pour te faire souffrir encore davantage, j'insinue deux doigts dans mon sexe trempé, sachant que tu ne rateras pas une seule de mes ondulations de bassin... Elle est à deux doigts de jouir. Je remonte alors sur elle, ma langue sur ses seins, mes genoux de part et d'autre de ses cuisses, frottant mon clitoris sur le sien avec dextérité pour la faire jouir contre moi. Je la regarde, son plaisir m'excite, elle est belle à en crever.  Le cri déchire son visage, son corps se soulève dans un tremblement intense qui parcourt mon échine, je suis ravie: elle a joui.
 

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Cependant, elle ne  s'avoue pas vaincue, et veut perpétuer le corps à corps. Elle introduit ses doigts fins dans ma chatte exaspérée par son plaisir, et promène sa langue sur moi. Je ne peux pas résister, je me trémousse, je me retourne, je veux arrêter ces délicieux tourments. Vexée, elle me fesse. Je tends le cul, elle recommence. Mon bassin soulevé lui permet de glisser son adorable tête sous moi, à la hauteur de ma chatte qu'elle dévore assidûment, crois-moi. Tu dois adorer ce spectacle de mes fesses écartées en l'air, et de son corps dépossédé sous le mien. Elle sursaute brusquement. Elle gémit. C'est étrange. Puis, en sentant ta langue sur mon cul, je comprends. Tu es en train de la doigter assez sévèrement, elle crie presque. Tu n'avais pas le droit, vilain chéri. Puisque tu es là, prends-moi. Oh, comme tu veux, tu sais bien que j'aime être ton jouet. Un coup de bite dans la chatte, peut-être? Avec S. en train de me lécher... Tu t'exécutes, elle lèche nos deux sexes qui s'emboîtent, qui coulissent, unis par sa salive fruitée de salope. 
Encule-moi. Je veux avoir mal, je veux lui montrer que je peux être une chienne quand tu me dévores. Je la lèche avec frénésie pour lui montrer que tout son corps brûlant, en sueur, m'appartient. Couchée sensuellement sous moi, elle me caresse, me lèche aussi, se frotte contre moi: son excitation la disperse dans ses intentions. Elle finit par se laisser aller au supplice de ma langue sur ses seins, jouissant de tes coups de bassin qui me plaquent sur elle, je la mords, je la désire furieusement, tandis que tes mains sur mes cuisses me rappellent que tu es mon maître. Je commençais à perdre la tête...

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Elle aussi s'oublie dans la jouissance, ramenons-la à la raison: prends-la sauvagement! Mon désir est dur à satisfaire, je suis assoiffée de sexe, je veux la boire, te boire: je lui lècherais le cul et la chatte, et quand tu auras joui, je laperai ton sperme coulant entre ses seins...

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Commentaires
M
sensuel à la narration trés évocatrice ; )<br /> félicitations <br /> <br /> Maxence<br /> http://salongascogne.free.fr/sexyblogs/blog.php?pseudo=maxence_pour_femmesRP
L
On attendait, on attendait... C'est parfois bon d'attendre...
T
Je découvre et j'adore, je vous met en conseil sur mon site immédiatement.
Mr et Mme Très Bien Elevés
Mr et Mme Très Bien Elevés

Elle s'offre à lui... Il est à elle. Ils sont libertins. Ils ne se gêneront pas pour exciter même les bien-pensants.
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